Yûna ou une dragonne associable. [Fini ]

-Nom: Stanford

-Prénom: Yûna

-Âge: 16 ans

-Pouvoir élémentaire de base: Light

-Don qui l'accompagne:

Puisant son énergie des astres lunaires et solaires, elle sert de transformateur de cette énergie. L’utilisant comme une arme ou une défense. C’est à dire qu’à sa guise, elle peut faire des US solaire ou des rayons lunaires, une chaleur ou dans le cas de la lune, un froid qui sera employé à l’attaque. Brûlant de froid ou de chaud tout ce qu’elle veut brûler ou créant avec cette chaleur, une défense contre le froid et réciproquement. Toutefois, elle a besoin de faire le plein d'énergie chaque jour sans en passer un seul, sinon elle se retrouve affaiblie et une fois épuisée, elle doit attendre le moment ou les astres se rencontrent pour faire le plein, dans un autre moment, ces tentatives de faire le plein seront vaines et inutiles, ne lui laissant plus que l'option utilisation de sa force physique ( qui est, faisont le remarquer, loin d'être exeptionnelle)



-Physique humain:


Du haut de son mètre 70, Yûna, de corpulence svelte est une jeune fille fine mais possédant des formes et courbes féminines largement satisfaisante pour une jeune adolescente de 16 ans.

Tombant en cascade sur ses frêles et fines épaules de petite poupée, une longue chevelure couleur ébène lui arrive jusqu’au bas du dos. Un fin visage aux traits enfantins en contraste ses yeux aux expressions adultes. Initialement améthystes, ils reflètent une intelligence mâture et une réflexion minutieuse, cachées toutes deux, la plupart du temps par des lueurs d’un bleu hautain et arrogant.

Un fin nez, des yeux en amandes munis de longs cils noirs, de fines lèvres rosées, Yûna tient sans nul doute de sa mère son visage aux traits droits et élégants. Ses hautes pommettes roses virent aux rouges pivoines plus que rarement, lui offrant dans la majorité du temps, un teint pâlot.



De longues jambes musclées par-ci par-là, Yûna semble être plutôt du type endurant que rapide, il lui fait un petit moment d’échauffement avant d’être au top de sa forme, mais dès qu’elle a passé ce cap, plus rien ne peut l’arrêter, sauf la fatigue qu’elle gère de façon convenable et efficace.


-Physique dragon:



Des écailles d’or sur un corps robuste et taillé pour la vitesse en vol. Longs et fin. Fendant facilement l’air, à l’aide de longues ailes entraînées pour l’endurance requise lors des longs périples. Des pattes avant et arrière finement musclées, adoucissant les atterrissages et facilitant les décollages. Les griffes tranchantes se trouvant sur ces fameuses pattes coupent et fendent aussi bien qu’une lame aiguisées, si pas plus. Des épines éparpillées un peu partout sur son dos, se rassemble en masse sur sa longue queue, formant une arme dangereuse et mortelle dans certains cas.



Deux longues cornes en kératine protègent en cas de besoin son long cou des attaques avec un seul mouvement de tête arrière, transperçant l’ennemie de part en part. Entre ces deux cornes, se trouvent également une multitude de petites épines annexes. Des yeux aux éclats améthyste protégés par quelques pics. Et pour clore le tout, une bouche munie de dents aiguisées, toujours prêtent à être utilisées.



-Caractère:



Captive d’une prison de peur et de solitude, Yûna d’apparence snob et froide à trouver seul refuge à son incapacité de se sociabiliser derrière un masque d’arrogance et de prétention. Incapable d’aller vers les autres sans leur faire une remarque déplaisante, à peine sera-t-elle sortie de sa bouche, qu’elle sera accablée intérieurement. Elle est effrayé voir terrorisée par la solitude mais s’y noie malgré tout. Une faille de la taille digne du grand canyon s’étend littéralement entre ce qu’elle dit et ce qu’elle pense réellement. Son caractère est un labyrinthe complexe, mais essayons tout de même d’y mettre un peu d’ordre ! Procédons de façon structurée.

Qualités :

Rare sont les personnes concernées par un accès d’affection et attachement de sa part mais si l’on cherche à la connaître et insiste à être auprès d’elle, Yûna, s’ouvrira peu à peu à vous, s’attachant et devenant presque possessive !

Elle aime beaucoup apprendre et elle est douée pour cela. Ouverte et curieuse à toute chose nouvelle dans les études, elle appréhende toute fois l’apparition de quelqu’un dans sa petite bulle de solitude.

Protectrice envers peux de personne, certes, mais elle est dévouée à sa famille et à ses quelques uniques amis auxquels elle tient plus que tout. Ils sont au nombre de deux. Elle est prête à sa sacrifier pour aider ses proches, usant de ses atouts intellectuels autant que de ses aptitudes au maniement de son pouvoir.

Intelligente, elle fait preuve d’un sens de la logique et de réflexion rare pour une personne de son âge. Cela lui permet également de ne pas beaucoup travailler. Elle n’a qu’a écouté en cours et faire correctement les exercices proposés pour s’imprégner de la matière.


Défauts :

Arrogante, elle vous regardera et prendra de haut, mêlant cette attitude à de la mesquinerie, elle n’aime pas rabaisser les autres, à vrai dire, elle déteste faire ça, mais c’est plus fort qu’elle, ça sort tout seul, c’est presque aussi inné que de respirer.

Asociale, elle n’aime pas beaucoup être en contact avec les autres et surtout elle ne sait pas comment faire pour avoir des relations avec les autres, repoussant ses semblables avec sa froideur et une certaine prétention, même si au fond d’elle cela lui fait très mal.



-Histoire:



Une nuit d’été, la famille Stanford fut comblée par la naissance d’une petite fille.

Mais cette nuit-là, également, le destin de la petite fut scellé, bouleversant à jamais,

Sa vie future et les projets qu’on lui avait dédiés. A la place d’être l’héritière, elle devint le chat noir. A la place d’être choyée, elle fut isolée. Et tout ça, à cause d’une malheureuse prédiction d’un malheureux prêtre qui n’avait pas tort du tout, mais qui fut, malgré lui, tué une nuit.

La mère d’Yûna était une femme de toute beauté, attirant les hommes comme la lumière du jour attire les papillons. Mais la jeune femme ne trouvait pas son bonheur parmi ses amants. Elle cherchait la richesse et le confort, en dépit de l’amour si tel était le chemin qu’elle devait emprunter vers la gloire. L’amour, elle n’en avait guère à faire. Pourquoi hésiter entre une tirelire ambulante et une passion éphémère ? La passion prendrait tout, sans rien laisser en retour, par contre, la tirelire elle, même si elle venait à se briser, elle pourrait toujours récolter les pièces tombées.

C’est ainsi qu’elle se maria à un riche homme d’affaire. L’homme avant une trentaine d’années et la lady n’en avait qu’une vingtaine, mais l’avarice et l’avidité dont elle faisait part, l’encourageait, et fort heureusement pour elle, cet homme était loin d’être repoussant. Un mariage en grande pompe, une maison de centre-ville et une autre, en rase campagne L’homme s’installait dans le centre-ville 3 jours sur 7, passant les 4 autres auprès de sa femme, qui l’accueillait plutôt chaudement, munie d’un grand sourire aux lèvres. Leur domaine possédait une forêt encerclant maintes prairies et bordées de petits villages, plantés sur les rives d’un grand lac, comme il y en avait tant dans les ces contrées.

Une nuit d’été, la femme donnait naissance à une petite fille. On la nommait Yûna. Son avenir était tout tracé. Dès son plus jeune âge, elle fut mise en contact avec de riches enfants, ses parents choisissaient déjà avec grand soin son futur mari. Mais une triste nuit d’automne bouleversait tout. Après la cérémonie célébrant ce fameux jour où l’on fête les morts, un prêtre du village eut une vision. Il vit dans son rêve une bête énorme, ressemblant à un lézard géant, aux crocs et aux griffes aiguisées, ses écailles étaient de couleur doré. Ce monstre dévastait tout sur son passage : hangar, maison arbre, écrasant une ferme de son poids, détruisant les récoltes et semant la terreur au sein du village. Puis, lui apparut le saint visage de la petite Yûna, âgée alors que de 10 ans. Se levant en toute hâte, il entrait avec fracas dans la demeure des Stanford, réveillant Madame et Monsieur, très occupés à dormir, et créant une agitation digne de ce nom au sein de la maison. Il avertit les parents de son rêve, leur ordonnant d’exorciser au plus vite leur petite fille du démon du mal qui s’en était pris à elle. Il les menaçait de tout révéler aux gens du village s’ils ne l’écoutaient pas, et même si l’époque n’était plus celle de la cruauté, la peur dans les cœurs des hommes, animait toujours autant la rage et la haine de l’inconnu. Prenant peur pour leur réputation mais aussi pour leur petite, les Stanford arrangeaient un voyage pour le prête. Le faisant raccompagner chez lui par leur majordome. Malheureusement, le prête fut retrouvé au cours d’une recherche, étendu au pied d’une falaise, la nuque brisée. Son cheval s'était emballé et l'avait fait tombé d'après le Majordome.

Une année passa, dans le calme totale, mais la semaine suivant le 11 ème anniversaire de la petite, les parents furent réveillés la nuit par un bruit. Depuis leur fenêtre, ils assistèrent au décollage d’une bête gigantesque. La lune reflétait sa couleur d’or. Cette bête avait les mêmes yeux que leur fille et cette dernière n’était nul part dans la maison. Le lendemain matin, ils la retrouvèrent à l’orée du bois, entourée d’écaille dorée et l’herbe aplatie autour d’elle formait une silhouette de lézard géant.

Quelques jours plus tard, la petite était dans les montagnes bordant un temple dans un pays lointain. D’après les rumeurs, une puissante prêtresse avait scellé les alentours et les démons ne pouvaient plus sortir de cette zone sans l’accord de la femme. Une maison dans ces montagnes avait été achetée, quelques servantes et un précepteur, tous assez courageux ou ignorant la véritable identité de la demoiselle. Yûna était seul, les enfants du village avaient peur d’elle et les adultes faisaient courir d’étranges rumeurs. Un jour, elle revit ses parents. Son père avait trouvé une école pour elle. Sans lui expliqué comment, ni pourquoi, il l’envoyait à cette école.

Yûna partie, et n’eut aucun problème à traverser le ‘’champ de force’’ tant réputé de la prêtresse. Depuis le jour où elle avait été exilé, la gentille petite fille aimée et adorée de tous, c’était refermée sur soi-même, devenant une arrogante personne, qui avait peur de la solitude dans laquelle on l’avait plongée et qui malgré elle, se refermait sur elle.





Vous:

-prénom: (facultatif) : vous pouvez m'appeller Yûna. Stanford Yûna.

-Âge: 15 et 10 mois

Présence sur le forum: 2/7

-Comment l'avez-vous découvert: Via son fonda' *3*

-Comment le trouvez-vous? Nice !

-Les points à améliorer: Non ^^


-Remarque(s): presque fini -> reste plus que le caractère à compléter

Bienvenue Yûna

Merci ! ^^



Je commence ma fiche mercredi sans fautes ;P

Bienvenue =D